La rue Linois, vue du n°3

Les souvenirs sont les preuves de notre existence, de notre vécu, de notre présence. Ils ont une influence sur notre façon d’être, de vivre, de ressentir. Ils font partie de nous de notre histoire. A quoi servent les souvenirs si nous sommes seuls à nous en rappeler ?

Le propos, ici, n’est pas de rappeler l’histoire de notre quartier, en remontant à l’annexion du village de Vaugirard et de sa plaine de Grenelle par la Ville de Paris en 1860 ou de son lotissement par Jean-Léonard Violet et Alphonse Letellier, sur des terrains achetés à César Ginoux.

Tout au plus, les anciens, qui ont connu les usines Citroën en activité se rappelleront, que ces usines résultèrent de la transformation en chaînes de montage automobile, des anciens ateliers d’armement d’André Citroën, pendant  la Première guerre mondiale.

Aujourd’hui, il serait intéressant que ceux qui ont des souvenirs concernant la transformation du quartier, depuis la fin des années 1960, puissent en faire profiter les autres. Aussi, ceux qui ont de la mémoire, des documents de toute sorte, photos, coupures de presse, ou des anecdotes  sont les bienvenus pour intervenir dans cette rubrique .

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